000000857 001__ 857 000000857 005__ 20250211155734.0 000000857 0247_ $$a10.34989/swp-2000-15$$2DOI 000000857 035__ $$a10.34989/swp-2000-15 000000857 041__ $$aeng 000000857 084__ $$aF International Economics$$03061 000000857 084__ $$aF2 International Factor Movements and International Business$$03077 000000857 084__ $$aF21 International Investment; Long-Term Capital Movements$$03079 000000857 084__ $$aF4 Macroeconomic Aspects of International Trade and Finance$$03095 000000857 084__ $$aF43 Economic Growth of Open Economies$$03099 000000857 084__ $$aO Economic Development, Innovation, Technological Change, and Growth$$o3568 000000857 084__ $$aO5 Economywide Country Studies$$o3606 000000857 084__ $$aO50 General$$o3607 000000857 245__ $$aPrivate Capital Flows, Financial Development, and Economic Growth in Developing Countries 000000857 260__ $$bBank of Canada 000000857 269__ $$a2000 000000857 300__ $$a1 online resource (vi, 22 pages) 000000857 336__ $$aText 000000857 347__ $$bPDF 000000857 520__ $$aAn important issue in the debate over the desirability of freer capital mobility for developing countries is whether capital flows have significant effects on economic growth. Proponents of capital account liberalization cite the growth-promoting attributes of capital inflows as a key benefit of financial integration for developing countries. Unfortunately, there is little empirical evidence to confirm or refute this claim, except for several studies that establish a positive link between inflows of foreign direct investment (FDI) and economic growth. This paper helps to fill the gap in the literature by investigating the role of private capital flows in the determination of economic growth using panel data for 40 developing countries from 1975-95. Unlike existing empirical work, this paper focuses on the effects of a broad measure of capital flows on economic growth, rather than on a more specific category, such as FDI, and it emphasizes the role played by the domestic financial sector in the process linking capital flows and growth. A dynamic panel-data methodology is used that controls for country-specific effects and accounts for the potential endogeneity of the explanatory variables. This study finds evidence that capital inflows foster higher economic growth, above and beyond any effects on the investment rate, but only for economies where the banking sector has reached a certain level of development. The results thus suggest that the domestic financial sector plays a pivotal role in ensuring that international capital flows do indeed promote economic growth in developing countries.$$7Abstract 000000857 520__ $$aPour déterminer si une plus grande mobilité des capitaux est souhaitable pour les pays en développement, il est important de chercher à établir si les mouvements de capitaux ont des effets tangibles sur la croissance économique. Les partisans de la libéralisation des flux de capitaux soutiennent que les effets stimulants de ceux-ci sur la croissance comptent parmi les principaux avantages de l'intégration financière pour ces pays. Malheureusement, exception faite de quelques études ayant établi un lien positif entre les investissements étrangers directs et la croissance économique, le petit nombre de travaux empiriques consacrés à la question ne permettent ni de confirmer, ni de réfuter cette affirmation. Dans le but de combler en partie cette lacune, l'auteure analyse le rôle des flux de capitaux privés dans la croissance économique au moyen de données longitudinales portant sur 40 pays en développement et s'étendant sur la période 1975-1995. L'étude se distingue des travaux empiriques déjà réalisés sur le sujet en ce qu'elle se concentre sur les effets d'un indicateur général des mouvements de capitaux sur la croissance économique, plutôt que sur l'incidence d'une catégorie précise, par exemple les investissements étrangers directs. Elle insiste aussi sur le rôle que joue le secteur financier intérieur dans la relation entre ces mouvements et la croissance. L'auteure fait appel à une méthode dynamique basée sur des données longitudinales qui tient compte des effets propres à chaque pays ainsi que de l'endogénéité possible des variables explicatives. Elle arrive à la conclusion que les entrées de capitaux favorisent la croissance économique au-delà des simples effets qu'elles produisent sur le niveau des investissements, mais seulement dans les économies dont le secteur bancaire a atteint un certain niveau de développement. Ces résultats semblent donc indiquer que le secteur financier intérieur joue un rôle central en ce qui concerne la capacité des flux de capitaux internationaux de favoriser la croissance économique des pays en développement.$$7Résumé 000000857 540__ $$aCreative Commons Attribution 4.0 International$$uhttps://creativecommons.org/licenses/by/4.0/legalcode$$fCC-BY-4.0 000000857 6531_ $$aInternational topics 000000857 6531_ $$aQuestions internationales 000000857 7001_ $$aBailliu, Jeannine 000000857 789__ $$w1192-5434$$2ISSN$$eIsPartOf 000000857 8301_ $$aStaff Working Paper 000000857 8301_ $$aDocument de travail du personnel 000000857 8564_ $$uhttps://www.oar-rao.bank-banque-canada.ca/record/857/files/wp00-15.pdf$$94491addf-cd5f-4e1c-955e-7f6be49e497a$$s133403$$zFile Source: Bank of Canada website, 2024 000000857 909CO $$ooai:www.oar-rao.bank-banque-canada.ca:857$$pbibliographic 000000857 980__ $$aStaff Research 000000857 980__ $$aRDM 000000857 991__ $$aPublic