000000772 001__ 772 000000772 005__ 20250211155726.0 000000772 0247_ $$a10.34989/tr-66$$2DOI 000000772 035__ $$a10.34989/tr-66 000000772 041__ $$afre 000000772 084__ $$aF International Economics$$03061 000000772 084__ $$aF1 Trade$$03066 000000772 084__ $$aF15 Economic Integration$$03072 000000772 084__ $$aF3 International Finance$$03084 000000772 084__ $$aF31 Foreign Exchange$$03086 000000772 245__ $$aLes sources des fluctuations des taux de change en Europe et leurs implications pour l'union monétaire 000000772 260__ $$bBanque du Canada 000000772 269__ $$a1994 000000772 300__ $$a1 ressource en ligne (viii, 59 pages) 000000772 336__ $$aTexte 000000772 347__ $$bPDF 000000772 520__ $$aLa présente étude traite de la question de l'union monétaire européenne à partir d'une approche empirique. L'objectif principal de l'étude est d'évaluer le degré d'asymétrie des chocs affectant un ensemble de huit pays européens susceptibles de former le noyau d'une éventuelle union monétaire. Étant donné que la mesure qui importe le plus est le degré d'asymétrie des chocs réels, notre approche consiste à utiliser les fluctuations observées des taux de change réels comme un indicateur du degré d'asymétrie des chocs et d'en extraire les composantes réelles (qui sont permanentes) et les composantes nominales (qui sont transitoires) par le biais de l'information contenue dans les variations du taux de change nominal. La méthode de décomposition utilisée est celle recommandée par Blanchard et Quah (1989) et adaptée au cas des taux de change réels. De façon générale, les résultats démontrent que, même à court terme, les chocs réels constituent la principale source des fluctuations des taux de change réels. Les résultats suggèrent également que l'Allemagne, les Pays-Bas et la Belgique pourraient former le noyau d'une union monétaire, alors que le Royaume-Uni et l'Espagne auraient à assumer des coûts d'ajustement importants. Quant aux autres pays inclus dans l'étude (la France, l'Italie et la Suisse), ils représentent des cas intermédiaires.$$7Résumé 000000772 520__ $$aThe objective of this paper is to provide an empirical evaluation of the degree of shock asymmetry between eight European countries that would form the core of a monetary union. Given that the relevant measure is the degree of real shock asymmetry, our approach is to use the observed movement in real exchange rates as an indicator of the degree of shock asymmetry and to decompose it into real (permanent) and nominal (temporary) components, using information from the nominal exchange rate in a bivariate system. The decomposition method used is similar to that proposed by Blanchard and Quah (1989) and has been adapted to the case of exchange rates. In general, the results indicate that even in the short run, real shocks represent the dominant source of fluctuations in real exchange rates. The results also suggest that Germany, the Netherlands and Belgium together could form the core of a monetary union, whereas Spain and the United Kingdom could potentially face serious adjustment costs. The other countries included in the study (France, Italy and Switzerland) represent intermediate cases.$$7Abstract 000000772 540__ $$aCreative Commons Attribution 4.0 International$$uhttps://creativecommons.org/licenses/by/4.0/legalcode.fr$$fCC-BY-4.0 000000772 6531_ $$aTaux de change 000000772 6531_ $$aExchange rates 000000772 7001_ $$aDeSerres, Alain 000000772 7001_ $$aLalonde, René 000000772 789__ $$w0713-7931$$2ISSN$$eIsPartOf 000000772 8301_ $$aRapport technique 000000772 8301_ $$aTechnical Report 000000772 8564_ $$9c59af865-56f8-48de-a69e-62b1fabf6598$$s286633$$uhttps://www.oar-rao.bank-banque-canada.ca/record/772/files/tr66.pdf$$zSource du fichier : site Web de la Banque du Canada, 2024 000000772 909CO $$ooai:www.oar-rao.bank-banque-canada.ca:772$$pbibliographic 000000772 980__ $$aStaff Research 000000772 980__ $$aRDM 000000772 991__ $$aPublic