000000679 001__ 679 000000679 005__ 20250211155721.0 000000679 0247_ $$a10.34989/swp-1993-8$$2DOI 000000679 02470 $$a0-662-20921-4$$2ISBN 000000679 041__ $$aeng 000000679 245__ $$aThe Demand for M2+, Canada Savings Bonds and Treasury Bills 000000679 260__ $$bBank of Canada 000000679 269__ $$a1993 000000679 300__ $$a1 online resource (v, 58 pages) 000000679 336__ $$aText 000000679 347__ $$bPDF 000000679 520__ $$aThis paper uses the Johansen methodology to test for the existence of a stable long-run demand function for certain broad measures of liquidity in Canada. We find strong evidence of cointegration over the 1970-90 period between real balances, output, an own-rate of interest, a competing rate of interest and the rate of inflation. The strong evidence in favour of cointegration presented in this paper contrasts sharply with previously published research on the demand for the broad monetary aggregates in Canada. This difference can be attributed to three main factors. First, allowing inflation to have long-run effects on the demand for these broad aggregates appears to help in obtaining a money-demand function that is stable through the 1980s. Second, the Johansen tests for cointegration appear to be more powerful than the residual-based tests which have generally been used in previous research. Finally, allowing for portfolio shifts between a broad measure of money (M2+), treasury bill holdings and Canada Savings Bonds appears to explain part of the downward shift in M2+ during the 1982-84 period.$$7Abstract 000000679 520__ $$aDans la présente étude, l'auteur met à contribution la méthode de Johansen pour vérifierl'existence d'une fonction de demande à long terme stable de certains agrégats monétaires au sens large au Canada. Les résultats obtenus indiquent une forte cointégration entre les encaisses réelles, la production, un taux d'intérêt propre, un taux d'intérêt concurrent et le taux d'inflation au cours de la période 1970-1990. Ces résultats se démarquent fortement de ceux générés par les travaux sur la demande des agrégats monétaires au sens large au Canada publiés antérieurement. La divergence peut être attribuée à trois grands facteurs. Premièrement, le fait que l'auteur permet à l'inflation d'exercer une incidence à long terme sur la demande de ces agrégats semble faciliter l'obtention d'une fonction de demande de monnaie stable tout au long des années 80. Deuxièmement, les tests de cointégration de Johansen semblent être plus puissants que les tests, fondés sur des résidus d'estimation, qui ont été généralement utilisés dans les recherches antérieures. Enfin, le fait que l'auteur autorise des mouvements de portefeuille entre un agrégat monétaire au sens large (M2+), les bons du Trésor et les obligations d’épargne du Canada semble expliquer en partie la baisse de M2+ de 1982 à 1984.$$7Résumé 000000679 540__ $$aCreative Commons Attribution 4.0 International$$uhttps://creativecommons.org/licenses/by/4.0/legalcode$$fCC-BY-4.0 000000679 7001_ $$aMcPhail, Kim$$uBank of Canada$$3https://ror.org/05cc98565$$5ROR 000000679 789__ $$eIsPartOf$$2ISSN$$w1192-5434 000000679 8301_ $$aStaff Working Paper 000000679 8301_ $$aDocument de travail du personnel 000000679 8564_ $$uhttps://www.oar-rao.bank-banque-canada.ca/record/679/files/swp1993-08.pdf$$918352d82-89d7-4118-83c5-f0822dc9a15c$$s8907965$$zFile Source: Digitized from the Bank of Canada Library, 2020 000000679 909CO $$ooai:www.oar-rao.bank-banque-canada.ca:679$$pbibliographic 000000679 980__ $$aStaff Research 000000679 980__ $$aDigitized 000000679 980__ $$aRDM 000000679 991__ $$aPublic