TY  - GEN
AB  - This paper proposes a theoretical framework to analyze the relationship between credit shocks, firm defaults and volatility, and to study the impact of credit shocks on business cycle dynamics. Firms are identical ex ante but differ ex post due to different realizations of firm-specific technology shocks, possibly leading to default by some firms. The paper advances a new modelling approach for the analysis of firm defaults and financial intermediation that takes account of the financial implications of such defaults for both households and banks. Results from a calibrated version of the model suggest that, in the steady state, a firm’s default probability rises with its leverage ratio and the level of uncertainty in the economy. A positive credit shock, defined as a rise in the loan-to-deposit ratio, increases output, consumption, hours and productivity, and reduces the spread between loan and deposit rates. The effects of the credit shock tend to be highly persistent, even without price rigidities and habit persistence in consumption behavior.
AB  - Les auteurs proposent un modèle théorique pour l’analyse de la relation entre les chocs de crédit, les défaillances d’entreprises et la volatilité, ainsi que pour l’étude des effets de ces chocs sur la dynamique du cycle économique. Dans ce modèle, des entreprises identiques ex ante se différencient ex post en réponse aux chocs technologiques réalisés, qui sont propres à chaque entreprise et peuvent provoquer sa défaillance. Le nouveau modèle employé par les auteurs pour examiner les défaillances des firmes et l’intermédiation financière tient compte des conséquences financières de ces défaillances à la fois sur les ménages et sur les banques. Les résultats tirés d’une version étalonnée du modèle indiquent qu’à l’équilibre de long terme, la probabilité de défaut d’une entreprise augmente avec son ratio de levier et le degré d’incertitude dans l’économie. Un choc de crédit positif - à savoir une hausse du ratio des prêts aux dépôts - accroît la production, la consommation, le nombre d’heures travaillées et la productivité et réduit l’écart entre le taux prêteur et le taux de rémunération des dépôts. Les retombées du choc de crédit tendent à perdurer longtemps même en l’absence de rigidité des prix et de persistance des habitudes de consommation.
AU  - Pesaran, M. Hashem
AU  - Xu, TengTeng
DA  - 2013
DO  - 10.34989/swp-2013-19
DO  - DOI
ID  - 1644
KW  - Business fluctuations and cycles
KW  - Credit and credit aggregates
KW  - Economic models
KW  - Financial Institutions
KW  - Cycles et fluctuations économiques
KW  - Crédit et agrégats du crédit
KW  - Modèles économiques
KW  - Institutions financières
L1  - https://www.oar-rao.bank-banque-canada.ca/record/1644/files/wp2013-19.pdf
L2  - https://www.oar-rao.bank-banque-canada.ca/record/1644/files/wp2013-19.pdf
L4  - https://www.oar-rao.bank-banque-canada.ca/record/1644/files/wp2013-19.pdf
LA  - eng
LK  - https://www.oar-rao.bank-banque-canada.ca/record/1644/files/wp2013-19.pdf
N2  - This paper proposes a theoretical framework to analyze the relationship between credit shocks, firm defaults and volatility, and to study the impact of credit shocks on business cycle dynamics. Firms are identical ex ante but differ ex post due to different realizations of firm-specific technology shocks, possibly leading to default by some firms. The paper advances a new modelling approach for the analysis of firm defaults and financial intermediation that takes account of the financial implications of such defaults for both households and banks. Results from a calibrated version of the model suggest that, in the steady state, a firm’s default probability rises with its leverage ratio and the level of uncertainty in the economy. A positive credit shock, defined as a rise in the loan-to-deposit ratio, increases output, consumption, hours and productivity, and reduces the spread between loan and deposit rates. The effects of the credit shock tend to be highly persistent, even without price rigidities and habit persistence in consumption behavior.
N2  - Les auteurs proposent un modèle théorique pour l’analyse de la relation entre les chocs de crédit, les défaillances d’entreprises et la volatilité, ainsi que pour l’étude des effets de ces chocs sur la dynamique du cycle économique. Dans ce modèle, des entreprises identiques ex ante se différencient ex post en réponse aux chocs technologiques réalisés, qui sont propres à chaque entreprise et peuvent provoquer sa défaillance. Le nouveau modèle employé par les auteurs pour examiner les défaillances des firmes et l’intermédiation financière tient compte des conséquences financières de ces défaillances à la fois sur les ménages et sur les banques. Les résultats tirés d’une version étalonnée du modèle indiquent qu’à l’équilibre de long terme, la probabilité de défaut d’une entreprise augmente avec son ratio de levier et le degré d’incertitude dans l’économie. Un choc de crédit positif - à savoir une hausse du ratio des prêts aux dépôts - accroît la production, la consommation, le nombre d’heures travaillées et la productivité et réduit l’écart entre le taux prêteur et le taux de rémunération des dépôts. Les retombées du choc de crédit tendent à perdurer longtemps même en l’absence de rigidité des prix et de persistance des habitudes de consommation.
PY  - 2013
T1  - Business Cycle Effects of Credit Shocks in a DSGE Model with Firm Defaults
TI  - Business Cycle Effects of Credit Shocks in a DSGE Model with Firm Defaults
UR  - https://www.oar-rao.bank-banque-canada.ca/record/1644/files/wp2013-19.pdf
Y1  - 2013
ER  -