000001642 001__ 1642 000001642 005__ 20241213042434.0 000001642 0247_ $$a10.34989/swp-2013-17$$2DOI 000001642 035__ $$a10.34989/swp-2013-17 000001642 041__ $$aeng 000001642 084__ $$aF International Economics$$03061 000001642 084__ $$aF2 International Factor Movements and International Business$$03077 000001642 084__ $$aF21 International Investment; Long-Term Capital Movements$$03079 000001642 084__ $$aG Financial Economics$$03122 000001642 084__ $$aG0 General$$03123 000001642 084__ $$aG01 Financial Crises$$03125 000001642 084__ $$aG3 Corporate Finance and Governance$$03144 000001642 084__ $$aG34 Mergers; Acquisitions; Restructuring; Corporate Governance$$03149 000001642 245__ $$aFire-Sale FDI or Business as Usual? 000001642 269__ $$a2013 000001642 300__ $$a1 online resource (iv, 39 pages) 000001642 336__ $$aText 000001642 347__ $$bPDF 000001642 520__ $$aUsing a new data set, we examine the characteristics and dynamics of cross-border mergers and acquisitions during emerging-market financial crises, that is, so-called “fire-sale FDI.” Our findings shed fresh light on whether the transactions undertaken during crisis periods differ in fundamental ways from those undertaken during more tranquil periods. The increase in foreign acquisitions during crises is mainly driven by non-financial acquirers targeting firms in the same industry rather than foreign financial firms. This increase in acquisition activity in a given industry is unrelated to the industry’s dependence on external finance. There is also no evidence of an increase in the size of stakes bought during crises. In terms of the effect of crises on emerging-market mergers and acquisitions, we find little evidence that foreign acquisitions are resold, or “flipped,” more frequently than domestic acquisitions. Moreover, flipping rates are uncorrelated with the industry’s dependence on external finance. Finally, the probability of being flipped to a domestic buyer does not differ across crisis and non-crisis periods. All of these results are robust to alternative empirical specifications, different definitions of crises, and the inclusion of macroeconomic controls. Contrary to conventional wisdom, fire-sale FDI and asset flipping by foreign firms appear to have been “business as usual.”$$7Abstract 000001642 520__ $$aS’appuyant sur un nouvel ensemble de données, les auteurs étudient les caractéristiques et la dynamique des fusions et acquisitions internationales pendant les crises financières qu’ont connues les marchés émergents. Les résultats leur permettent d’évaluer si les transactions effectuées en temps de crise diffèrent fondamentalement des opérations réalisées d’ordinaire. Durant les crises, les acquisitions étrangères augmentent, pour l’essentiel, plus du fait de repreneurs du secteur non financier intéressés par des entreprises évoluant dans leur branche d’activité que sous l’impulsion de sociétés financières étrangères. Cette hausse des acquisitions au sein d’une branche est sans rapport avec la dépendance des acteurs de cette branche à l’égard du financement extérieur. Rien n’indique non plus que les entreprises étrangères acquièrent de plus grandes parts de capital lors des crises. Quant à l’effet des crises sur les fusions et acquisitions dans les marchés émergents, il ne semble pas que les firmes aux mains de repreneurs étrangers soient revendues plus souvent que les firmes dont les acheteurs ne sont pas étrangers. Qui plus est, le rythme de revente n’est pas corrélé avec la dépendance des entreprises d’une branche à l’égard du financement extérieur. Enfin, la probabilité qu’une firme sous contrôle étranger redevienne la propriété de nationaux ne change pas en période de crise. Ces résultats ne sont pas sensibles à la spécification empirique retenue ni à la définition de la durée des crises et ne varient pas non plus quand des variables macroéconomiques de contrôle sont intégrées. Contrairement à ce qui est communément admis, les acquisitions financées par des investissements directs étrangers et le rythme de revente des entreprises ainsi achetées n’augmenteraient donc pas durant les crises financières.$$7Résumé 000001642 540__ $$aCreative Commons Attribution 4.0 International$$uhttps://creativecommons.org/licenses/by/4.0/legalcode$$fCC-BY-4.0 000001642 6531_ $$aFinancial markets 000001642 6531_ $$aInternational financial markets 000001642 6531_ $$aInternational topics 000001642 6531_ $$aMarchés financiers 000001642 6531_ $$aMarchés financiers internationaux 000001642 6531_ $$aQuestions internationales 000001642 7001_ $$aAlquist, Ron 000001642 7001_ $$aMukherjee, Rahul 000001642 7001_ $$aTesar, Linda 000001642 789__ $$w1701-9397$$2ISSN$$eIsPartOf 000001642 830__ $$aStaff Working Paper 000001642 830__ $$aDocument de travail du personnel 000001642 8564_ $$uhttps://www.oar-rao.bank-banque-canada.ca/record/1642/files/wp2013-17.pdf$$9c512f2f9-23f4-4c2c-b5ed-e8309fb3a4b4$$s559754 000001642 909CO $$ooai:www.oar-rao.bank-banque-canada.ca:1642$$pbibliographic 000001642 980__ $$aStaff Research 000001642 980__ $$aRDM 000001642 991__ $$aPublic