000001430 001__ 1430 000001430 005__ 20250211155822.0 000001430 0247_ $$a10.34989/swp-2007-31$$2DOI 000001430 035__ $$a10.34989/swp-2007-31 000001430 041__ $$aeng 000001430 084__ $$aD Microeconomics$$02929 000001430 084__ $$aD4 Market Structure, Pricing, and Design$$02959 000001430 084__ $$aD40 General$$02960 000001430 084__ $$aE Macroeconomics and Monetary Economics$$03005 000001430 084__ $$aE3 Prices, Business Fluctuations, and Cycles$$03029 000001430 084__ $$aE30 General$$03030 000001430 084__ $$aL Industrial Organization$$03364 000001430 084__ $$aL1 Market Structure, Firm Strategy, and Market Performance$$03367 000001430 084__ $$aL11 Production, Pricing, and Market Structure; Size Distribution of Firms$$03369 000001430 245__ $$aMicro Foundations of Price-Setting Behaviour: Evidence from Canadian Firms 000001430 260__ $$bBank of Canada 000001430 269__ $$a2007 000001430 300__ $$a1 online resource (iv, 54 pages) 000001430 336__ $$aText 000001430 347__ $$bPDF 000001430 520__ $$aHow do firms adjust prices in the marketplace? Do they tend to adjust prices infrequently in response to changes in market conditions? If so, why? These remain key questions in macroeconomics, particularly for central banks that work to keep inflation low and stable. The authors use the Bank of Canada's 2002–03 price-setting survey data to investigate Canadian firms' price-setting behaviour; they also analyze the micro foundations for the firms' pricing behaviour using count data and probit models. The authors find that, all else being equal, firms tend to adjust prices more frequently if they are state-dependent price-setters, operate in the trade sector, or have large variable costs or more direct competitors. There are various sticky-price theories; in the Bank's price-setting survey, the senior management of firms were read a simple statement in non-technical language that paraphrased each sticky-price theory, and were then asked whether the statement applied to their firm. The most frequently recognized sticky-price theories are customer relations, cost-based pricing, and coordination failure. The authors' analysis indicates that if firms recognize coordination failure on price increases, sticky information, menu costs, factor stability, or customer relations as being important, they tend to adjust prices less frequently. The authors also find that the patterns discernible within firms' recognition of stickyprice theories are strongly associated with firms' micro foundations.$$7Abstract 000001430 520__ $$aComment les entreprises révisent-elles leurs prix sur le marché? Sont-elles portées à ne les ajuster qu'à l'occasion, lorsque les conditions du marché changent? Et si oui, pourquoi? Ces questions demeurent fondamentales en macroéconomie, en particulier pour les banques centrales, qui s'efforcent de maintenir l'inflation à un niveau bas et stable. Les auteurs étudient le comportement des entreprises en matière de prix en se servant des résultats de l'enquête que la Banque du Canada a menée à ce sujet en 2002-2003. Ils analysent également les fondements microéconomiques de ce comportement en recourant à des modèles de comptage et à des modèles probits. Ils constatent que, toutes choses égales par ailleurs, les entreprises ont tendance à ajuster leurs prix plus fréquemment si elles ont pour habitude de se livrer à des révisions dictées par l'état du marché, si elles appartiennent au secteur du commerce, ou encore si elles ont des coûts variables importants ou un nombre relativement élevé de concurrents directs. Diverses hypothèses sont susceptibles d'expliquer la rigidité des prix. Dans le cadre de l'enquête de la Banque sur les comportements en matière de prix, un membre de la haute direction de l'entreprise sondée se voyait présenter des énoncés simples correspondant à ces différentes hypothèses et devait indiquer si chacun s'appliquait à la situation de sa firme. Les facteurs de rigidité des prix les plus souvent cités ont été les relations avec la clientèle, les coûts ainsi que la non-coordination des modifications des prix. L'étude montre que les firmes qui considèrent la non-coordination des changements de prix, la rigidité de l'information, les coûts d'étiquetage ou les relations avec la clientèle comme importants sont moins enclines à réviser souvent leurs prix. Les auteurs observent par ailleurs que le profil des facteurs de rigidité des prix reconnus par les entreprises est étroitement lié aux caractéristiques microéconomiques de ces dernières.$$7Résumé 000001430 540__ $$aCreative Commons Attribution 4.0 International$$uhttps://creativecommons.org/licenses/by/4.0/legalcode$$fCC-BY-4.0 000001430 6531_ $$aInflation and prices 000001430 6531_ $$aTransmission of monetary policy 000001430 6531_ $$aInflation et prix 000001430 6531_ $$aTransmission de la politique monétaire 000001430 7001_ $$ade Munnik, Daniel 000001430 7001_ $$aXu, Kuan 000001430 789__ $$w1701-9397$$2ISSN$$eIsPartOf 000001430 8301_ $$aStaff Working Paper 000001430 8301_ $$aDocument de travail du personnel 000001430 8564_ $$uhttps://www.oar-rao.bank-banque-canada.ca/record/1430/files/wp07-31.pdf$$945138430-047b-4347-81a8-371a275a713d$$s686502$$zFile Source: Bank of Canada website, 2024 000001430 909CO $$ooai:www.oar-rao.bank-banque-canada.ca:1430$$pbibliographic 000001430 980__ $$aStaff Research 000001430 980__ $$aRDM 000001430 991__ $$aPublic