000001247 001__ 1247 000001247 005__ 20250211155805.0 000001247 0247_ $$a10.34989/sdp-2010-7$$2DOI 000001247 035__ $$a10.34989/sdp-2010-7 000001247 041__ $$aeng 000001247 084__ $$aC Mathematical and Quantitative Methods$$02849 000001247 084__ $$aC4 Econometric and Statistical Methods: Special Topics$$02881 000001247 084__ $$aC46 Specific Distributions; Specific Statistics$$02887 000001247 084__ $$aC8 Data Collection and Data Estimation Methodology; Computer Programs$$02915 000001247 084__ $$aC81 Methodology for Collecting, Estimating, and Organizing Microeconomic Data; Data Access$$02917 000001247 245__ $$aStatistical Confidence Intervals for the Bank of Canada's Business Outlook Survey 000001247 260__ $$bBank of Canada 000001247 269__ $$a2010 000001247 300__ $$a1 online resource (iv, 10 pages) 000001247 336__ $$aText 000001247 347__ $$bPDF 000001247 520__ $$aWhile a number of central banks publish their own business conditions indicators that rely on non-random sampling, knowledge about their statistical accuracy has been limited. Recently, de Munnik, Dupuis, and Illing (2009) made some progress in this area for the Bank of Canada's Business Outlook Survey (BOS) by estimating the impact of the Bank's non-random sampling on the accuracy of the survey results. They found no evidence that the Bank's firm-selection process results in significantly biased estimates and/or wider confidence intervals than in the random-selection case. The author deepens and extends this work by (i) outlining the statistical properties of population-proportion and balance-of-opinion questions, and demonstrating how their design affects the calculation of the confidence intervals; (ii) examining the variation in statistical confidence associated with changes in the underlying response distribution using actual quarterly BOS results; (iii) considering the possibility that statistical accuracy varies across questions; and (iv) investigating whether the statistical accuracy of the survey results changes with variations in the business cycle. The main findings are that confidence intervals around the population-proportion questions are about half of those for the balance-of-opinion questions, and that the confidence bands around both types of question can change from survey to survey when the underlying response distribution becomes more or less concentrated in particular response categories (such as “higher,” “the same,” or “lower”). The author finds that confidence intervals around the BOS population-proportion questions become somewhat narrower during periods of recession, while those for the balance-of-opinion questions vary within a similar range across the cycle.$$7Abstract 000001247 520__ $$aBien que de nombreuses banques centrales publient leurs propres indicateurs de conjoncture – qu’elles construisent à partir d’échantillons non aléatoires d’entreprises –, on sait très peu de choses sur la précision statistique de ces indicateurs. Récemment, de Munnik, Dupuis et Illing (2009) ont accompli des progrès sur le sujet en évaluant l’incidence du choix de cette méthode d’échantillonnage sur la précision des résultats de l’enquête trimestrielle sur les perspectives des entreprises que mène la Banque du Canada. Ils ont constaté que le mode de sélection des entreprises retenu par la Banque n’entraîne ni biais significatif des estimations ni élargissement significatif des intervalles de confiance par rapport à l’échantillonnage aléatoire. De Munnik approfondit et élargit cette recherche : a) en décrivant les propriétés statistiques des deux types de questions de l’enquête (« proportion des répondants » et « solde des opinions ») et en expliquant l’incidence de leur formulation sur le calcul des intervalles de confiance; b) en analysant la variation du niveau de confiance statistique par suite de changements dans la distribution des réponses sous-jacente à partir des résultats réels de l’enquête; c) en envisageant que la précision statistique des résultats puisse varier d’une question à l’autre; d) en cherchant à savoir si la précision statistique varie suivant l’évolution du cycle économique. Ses principales conclusions sont les suivantes : a) les intervalles de confiance sont environ deux fois moins larges pour les questions du type « proportion des répondants » que pour celles du type « solde des opinions »; b) les intervalles de confiance entourant les deux types de questions peuvent varier d’une enquête à l’autre selon que la distribution des réponses sous-jacente est plus ou moins concentrée dans certaines catégories de réponses (telles que « supérieur », « égal » ou « inférieur »). L’auteur constate également que les intervalles de confiance autour des questions du type « proportion des répondants » se rétrécissent quelque peu en période de récession alors que, pour les questions du type « solde des opinions », ils restent à l’intérieur d’une fourchette qui ne varie guère tout au long du cycle.$$7Résumé 000001247 540__ $$aCreative Commons Attribution 4.0 International$$uhttps://creativecommons.org/licenses/by/4.0/legalcode$$fCC-BY-4.0 000001247 6531_ $$aBusiness fluctuations and cycles 000001247 6531_ $$aCentral Bank research 000001247 6531_ $$aRegional economic developments 000001247 6531_ $$aCycles et fluctuations économiques 000001247 6531_ $$aRecherches menées par les banques centrales 000001247 6531_ $$aÉvolution économique régionale 000001247 7001_ $$ade Munnik, Daniel 000001247 789__ $$w1914-0568$$2ISSN$$eIsPartOf 000001247 8301_ $$aStaff Discussion Paper 000001247 8301_ $$aDocument d’analyse du personnel 000001247 8564_ $$96f5390e5-bf0d-4201-a2f9-8219b4bc26fa$$s606734$$uhttps://www.oar-rao.bank-banque-canada.ca/record/1247/files/dp10-7.pdf$$zFile Source: Bank of Canada website, 2024 000001247 909CO $$ooai:www.oar-rao.bank-banque-canada.ca:1247$$pbibliographic 000001247 980__ $$aStaff Research 000001247 980__ $$aRDM 000001247 991__ $$aPublic